Advice on: Money

Lust for money

Rav Berland’s Advice on: Money

Continuing our translation of Etzot HaNachal, a compendium of practical advice from Rav Eliezer Berland, shlita, based on the teachings of Rebbe Nachman of Breslov.

MONEY

Having a lust for money is the biggest curse that exists.

  • A person experiences their lust for money 24 hours a day – which is not something that you have with the other lusts.

It’s assur (forbidden) to save money at the expense of the mitzvoth.

  • When you try to find a way to do a mitzvah on the cheap, and to save money at its expense, this brings a spirit of tumah (spiritual impurity) down upon you.
  • When a person tries to do a mitzvah without spending any money on it, because he doesn’t want to lose the money, this brings judgments upon him.
  • When a person starts looking for ways to do a mitzvah the cheapest possible way, it’s known that shedim (demonic forces) rule over everything he tries to accomplish.

A mitzvah that’s done for ‘free’ (chinam) is also worth chinam (nothing).

  • The holy Ari, zt’l, never wanted a discount on his mitzvahs.

It’s possible to test Hashem with tzedaka (charity). If a person gives $100 to tzedaka, this will change into $1000.

  • This is the inyan (matter) of shemita, on Har Sinai, this was to cause n’shemet a ‘loosening’ [of the purse strings], to distribute tzedaka.

A person can give his very last coin to tzedaka, and he’ll start to see salvations and miracles, that have never been seen before.[1]

  • If a poor person comes to a person’s home twice, to ask for tzedaka, then there is a possibility that a decree has been made on that person, and that if he gives the poor person tzedaka – maybe 100 shekels, or even, his last shekel, and then he just trusts in Hashem – then he will be saved from the decree of death, and his days will be lengthened.

A person needs to be free of any doubt that he will not so much as touch a penny that belongs to someone else.

[1] For a real-life example of this, please see the story of David HaLevi, who was saved from a terrorist stabbing attack in the merit of giving his last 10 shekels to charity shortly beforehand.

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1 COMMENT

  1. Conseils sur : l’argent

    Avoir du désir pour l’argent est la plus grande malédiction qui existe.

    • Une personne expérience son désir pour l’argent 24 heures chaque jour – qui n’est pas quelque chose que tu obtiens avec les autres désirs.

    C’est assur (interdit) d’économiser de l’argent dans la dépense pour les mitzvoth.

    • Quand tu essaies de trouver un moyen de faire une mitzvah au bas coût, et d’économiser dans cette dépense, cela amène un esprit de tumah (impureté spirituelle) sur toi.

    • Quand une personne essaie de faire une mitzvah sans dépenser aucun argent dessus, parce qu’il ne veut pas perdre de l’argent, cela amène des jugements sur lui.

    • Quand une personne commence à chercher des moyns pour faire une mitzvah le moyen le moins cher possible, c’est sû que les shedim (forces démoniaques) gouvernent sur toute chose il essaie d’accomplir.

    Une mitzvah qui est faite pour ‘gratuite’ (chinam) vaut également chinam (rien).

    • Le saint Ari, zt’l, jamais ne voulut une réduction sur ses mitzvahs.

    C’est possible de tester Hashem avec la tzedaka (charité). Si une personne donne $100 à la tzedaka ceci se changera en $1000.

    • Ceci est le inyan (sujet) de la shemita, au Har Sinai, cela allait causer n’shemet – un ‘relâchement’ [des cordons de la bourse], pour distribuer la tzedaka.

    Une personne peut donner sa toute dernière pièce à la tzedaka, et il commencera à voir des saluts et miracles, qui n’ont jamais été vus avant.[1]

    • Si un pauvre vient chez une personne deux fois, pour demander la tzedaka, ensuite il y a une possibilité qu’un décret ait été fait sur cette personne, et que s’il donne au pauvre la tzedaka – peut-être 100 shekels, ou même, son dernier shekel, et ensuite il croit juste en Hashem – ensuite il sera sauvé d’un décret de mort, et ses jours seront prolongés.

    Une personne a besoin d’être libérée de tout doute qu’il ne touchera pas à un sou qui appartient à quelque d’autre.

    [1] Pour un exemple concret de ceci, s’il vous plaît veuillez voir l’histoire de David HaLevi, qui fut sauvé d’une attaque terroriste à l’arme blanche par le mérite d’avoir donné ses derniers 10 shekels à la charité peu de temps auparavant.

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