Embarrassing others causes blood libels

teshuva and humiliation

Hurting others leads to blood libels

In the run-up to Pesach 5779, we hope to share some translated excerpts of Rabbi Eliezer Berland’s comments on the Haggadah. 

Rabbi Israel Salanter said that all the blood libels used to occur because we would hurt others.

And why did this used to occur on Pesach? Because on Pesach, people would hire widows and orphans, and they would say to them, “faster! You aren’t working properly!” They would scream at them.

Rav Salanter said that on Pesach, people were spilling so much blood[1], because people were shouting at their workers that there shouldn’t be a speck of chametz. But what about all the blood that was being drained from the other person’s face? Isn’t that also a sin?

A person who causes another person’s face to turn white [from shame] doesn’t have a share in the world to come.

Causing someone to flush with embarrassment or to blanch from shame is considered to be ‘spilling their blood’.

They did a good job, they didn’t do a good job – the ikker (essence) is just that there shouldn’t be any chametz d’Oraita, according to the Torah’s description, or any chametz d’Rabbanan, according to the Rabbis.

The rest is only a hashash, a suspicion of chametz.

So, you want to do adorn the mitzvah by keeping its finer points –  you’re going to do this by spilling someone else’s blood?!

This is why Rabbi Israel Salanter explained that all the blood libels dafka happen on Pesach.

Even today, they still want to create blood libels. The only difference is that the courts don’t accept these accusations, today. But Nikolayev (in the Ukraine) was still accepting them, in the time of the Beilis Trial*. Even today, you still meet non-Jews who are scared to eat matza, because they ‘know’ that every matza contains a drop of blood.

Five years ago in London, they put out a notice warning people to watch out for their children, but they made a big ruckus about this, so they had to take the notices down.

[1] Figuratively – embarrassing another person is considered akin to spilling that person’s blood, because the blood drains from the face of someone who is shamed by another person.

  • In 1911, a Jew named Mendel Beilis was falsely accused of the ritual murder of a Christian child named Andrei Yustchinsky in Kiev, the Ukraine. After two years in prison, Beilis was ultimately found not guilty – and it was discovered that the child had been murdered by the gangster friends of his own mother.
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1 COMMENT

  1. Embarrasser les autres causes des accusations de crime rituel

    Blesser les autres emmène à de la diffamation sanglante

    En prévision de Pesach 5779, nous souhaitons partager quelques extraits traduits des commentaires sur la Haggadah de Rabbi Eliezer Berland.

    Rabbi Israel Salanter a dit que les diffamations sanglantes avaient l’habitude d’arriver car nous blesserions les autres.

    Et pourquoi ceci avait l’habitude d’arriver à Pesach? Parce qu’à Pesach, les gens embaucheraient veuves et orphelins, et ils leurs diraient, “plus vite! Tu n’es pas en train de travailler proprement!” Ils leur crieraient dessus.

    Rav Salanter dit qu’à Pesach, les gens étaient en train de verser beaucoup de sang[1], parce que les gens étaient en train de crier sur leurs employés qu’ils ne devraient pas y avoir une poussière de chametz. Mais que dire de tout le sang qui fut drainé du visage de l’autre personne? N’est-ce pas également un péché?

    Une personne qui cause que le visage d’une autre personne blanchit [de honte] n’a pas de part dans le monde qui vient.

    Faire rougir quelqu’un d’embarras ou blanchir de honte est considéré comme, “verser le sang” .

    Ils ont fait un bon travail, ils n’ont pas fait un bon travail – l’ikker (essence) est juste qu’ils ne devraient pas y avoir quelque chametz d’Oraita, selon la description de la Torah, ou quelconque chametz d’Rabbanan, selon les Rabbis.

    LE RESTE EST SEULEMENT UN HASHASH, UNE SUSPICION DE CHAMETZ.

    Donc, tu veux faire orner la mitzvah par garder ces points les plus fins – tu vas faire ceci par verser le sang de quelqu’un d’autre?!

    Ceci est pourquoi Rabbi Israel Salanter expliqua que toutes les diffamations sanglantes dafka arrivent à Pesach.

    Même aujourd’hui, ils veulent encore créer des accusations antisémites. La seule différence est que les cours de justice n’acceptent pas ces accusations, aujourd’hui. Mais Nikolayev (en Ukraine) était encore en train de les accepter, aux temps du Beilis Trial*. Même aujourd’hui, tu rencontres encore des non-juifs qui sont effrayés de manger la matza, parce qu’ils ‘savent’ que chaque matza contient une goutte de sang.

    Cinq années auparavant à Londres, ils publiaient une notice alertant les gens de surveiller leurs enfants, mais ils firent un gros grabuge par rapport à ceci, qu’ils ont dûs enlever les notices.

    [1] Au sens figuré – embarrasser une autre personne est considérée semblable à verser le sang de cette personne, car le visage de la personne devient toute blanche de quelqu’un qui est humilié d’une autre personne.

    En 1911, un Juif nommé Mendel Beilis à été faussement accusé de crime rituel d’un enfant chrétien nommé Andrei Yustchinsky à Kiev, Ukraine. Après deux ans de Prison, Beilis fut finalement trouvé non coupable – et il a été découvert que l’enfant a été assassiné par les amis gangsters de sa propre mère.

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